Jour 50 : Vision du violoniste



Aujourd'hui, je me suis retrouvé à errer dans les rues de Balti, une ville qui allie charme d'antan et agitation moderne. Le ciel partiellement nuageux offrait une douce toile de fond, projetant de douces ombres sur les rues pavées. Central Park a été une révélation. Les arbres, désormais ornés de teintes automnales, murmuraient des histoires des saisons passées. Pendant que je me promenais, le doux bruissement des feuilles sous mes pieds était un compagnon constant, me rappelant la nature éphémère du temps.

Je suis tombé par hasard sur un café pittoresque près du bord du parc. L’arôme du café fraîchement moulu était trop séduisant pour y résister. Tout en sirotant mon verre, j'ai observé les habitants vaquer à leurs occupations – certains en pleine conversation, d'autres perdus dans leur propre monde. C'est fascinant de voir à quel point chaque ville a son propre rythme, et celui de Balti est un air mélodieux à la fois apaisant et revigorant.

Plus tard, j'ai sorti mon carnet de croquis pour tenter de capturer l'essence du parc et de ses visiteurs. Un musicien local a joué un air doux sur son violon, ajoutant à l'ambiance. La journée ressemblait à un tableau, chaque instant ajoutant un nouveau coup de pinceau.

Alors que le soleil commençait à descendre, projetant une teinte dorée sur la ville, j’ai ressenti un profond sentiment de gratitude. Voyager, j'ai réalisé, ne consiste pas seulement à découvrir de nouveaux endroits. Il s'agit de vivre des moments qui deviennent des souvenirs, des histoires qui attendent d'être racontées. Aujourd'hui, c'était une de ces histoires à Balti, un chapitre que je chérirai.

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